Informations générales
  • Type de la structure
    Collectivité
  • Périmètre
    Loir-et-Cher (41)
    Local (16 communes)
  • Adresse
    22 avenue de la Sablière 41250 Bracieux
  • Téléphones
    0254465380
  • Membre de l'ARB Membre de l'ARB
  • Démarche d’ajustement au climat actuel ou attendu, ainsi qu’à ses conséquences. Pour les systèmes humains, il s’agit d’atténuer les effets préjudiciables et d’exploiter les effets bénéfiques. Pour les systèmes naturels, l’intervention humaine peut faciliter l’adaptation au climat attendu ainsi qu’à ses conséquences (GIEC).
  • suspension de particules dans un gaz
  • pouvoir réfléchissant d’une surface
  • basiques, le contraire d'acides
  • dépôt sédimentaire transporté par les eaux d’un cours d’eau (gravier, sable, argile…)
  • coléoptères ravageurs des crucifères (colza, choux).
  • qui disséminent leurs grains de pollen grâce au vent
  • cavités profondes et irrégulières
  • désigne un sol cultivé en agriculture
  • période sévère de basses eaux
  • Intervention humaine visant à réduire les sources ou à renforcer les puits de gaz à effet de serre (GIEC).
  • ensemble des espèces d'oiseaux d'une région donnée
  • remblais de terres et de graviers le long d'un cours d'eau, qui permettent de former les méandres (virages)
  • En biologie, ensemble de la matière organique d'origine végétale, animale, bactérienne ou fongique.
  • processus d'innovation et ingénierie qui s'inspire des formes, matières, propriétés, processus et fonctions du vivant
  • dont la coquille est formée de deux valves, reliées par une charnière, un ligament corné flexible et un ou deux muscles > par exemple chez les coques, moules, palourdes, pétoncles, huîtres, couteaux, coquilles Saint-Jacques...
  • sur des sols calcaires
  • matière naturelle qui compose la carapace des insectes (se prononce [ki.tin])
  • moyenne des conditions météorologiques sur une longue période (30 ans)
  • phénomène physique à l’origine d’échange de chaleur via un fluide
  • montées soudaines du niveau d'eau dans un cours d'eau
  • qualifie un organisme aquicole vivant et se reproduisant en eau douce
  • petites particules circulaires et minces qui ornent la surface supérieure du corps
  • Arrêt du remplissage du grain de blé lors de sa phase de maturation à cause de trop grandes chaleurs (canicule). Cela a pour effet de diminuer le poids du grain et donc le rendement.
  • étude scientifique du comportement animal principalement en milieu naturel
  • niveler, lisser
  • les ailes dures qui recouvrent l’abdomen d'insectes comme les coléoptères
  • obstruction du lit d'un cours d'eau
  • période où le niveau d'eau d'un cours d'eau est le plus bas
  • accumulation excessive de nutriments au sein d'un écosystème aquatique.
  • le cumul des expositions à des facteurs environnementaux (c'est-à-dire non génétiques) que subit un organisme, de sa conception à sa fin de vie, en passant par le développement in utero, complétant l'effet du génome
  • épanchements de liquide organique
  • types différents d'écoulement présents dans un cours d'eau (rapides, plats, radiers, mouilles)
  • action de couper et enlever les plantes aquatiques des rivières ou des étangs
  • Cours d'eau se jetant directement dans la mer, quelle que soit son importance
  • Phénomène artificiel de morcellement de l'espace (définition de l'Insee)
  • période de reproduction des poissons
  • lieux aquatiques où se reproduisent les poissons et les amphibiens et par extension les mollusques et les crustacés - l'endroit où les femelles déposent leurs œufs
  • une zone de gagnage est un endroit utilisé par des animaux sauvages pour se nourrir
  • Qui concerne la répartition selon leur diamètre, des particules des roches, sables, et graviers.
  • Le Groupement d’intérêt scientifique (GIS) sur le sol, regroupant les ministères de l’agriculture et de l’environnement, l’OFB, l’INRAE, l’IGN, le BRGM, l’ADEME et l’IRD a pour mission de compiler et traiter les informations sur les sols relative à leur inventaire, leur conservation, leur analyse et leur qualité.
  • Plante qui vit dans la vase mais dont les feuilles sont au-dessus de la ligne de flottaison : l'appareil végétatif et reproducteur est totalement aérien.
  • qui possède les organes reproducteurs des deux sexes
  • mouvement, distribution et qualité de l'eau
  • L’hydromorphologie c’est l’étude de la morphologie des cours d'eau (nature du sol, débit, pente, granulométrie du fond, etc.) des cours d’eau, fleuves et rivières, et notamment l’évolution des profils en long et en travers et du tracé planimétrique. <br />L’hydromorphologie c’est aussi l’étude des caractéristiques physiques naturelles des rivières et de leurs annexes hydrauliques (les variations de profondeur, de courant, la structure et la politique d’entretien et d’aménagement de ces rivières et fleuves).
  • Plante semi-aquatique qui nécessite d'avoir les racines mouillées. Elle a un absolu besoin de vivre dans l'eau et non seulement en milieu humide.
  • Plante issue de lieux humides et parfois temporairement inondés. Elle peut vivre en milieu terrestre.
  • à propos d'un flux, qui se dirige vers un système avec lequel il va interagir
  • Espèce qui est liée très fortement à cet organisme ou ce milieu et qui peut difficilement vivre sans celui-ci
  • rayonnements électromagnétiques d’une longueur d’onde supérieure à celle de la lumière, ne leur permettant pas d’être visibles.
  • qui sont faites de bois ou qui ressemblent à du bois
  • qui mangent la lignine, principal composant du bois avec la cellulose et l'hémicellulose
  • feuilles mortes, aiguilles, branches, fruits, mousses que composent les premiers centimètres sur le sol
  • variations artificielles du niveau d'eau d'un plan d'eau, d'une voie navigable ou d'une retenue exploitée
  • le temps qu'il fait à un instant et à un endroit donnés
  • Urbanisation dispersée (habitat individuel, bâtiments agricoles, etc.) dans des espaces demeurés naturels, agricoles ou forestiers.
  • Petite protubérance en forme de boule au niveau des racines des plantes, développée sous l'action d'une symbiose entre la plante et des bactéries fixatrices d'azote. Les racines des légumineuses (pois, fèves, trèfles) en sont garnies.
  • Petites protubérances en forme de boules au niveau des racines des plantes, développées sous l'action d'une symbiose entre la plante et des bactéries fixatrices d'azote. Les racines des légumineuses (pois, fèves, trèfles) en sont garnies.
  • seuils, radiers de pont, passages busés, barrages, etc. qui sont de nature à altérer la migration des espèces aquatiques, ainsi que la diversité et la qualité des habitats naturels disponibles (définition de l'Insee)
  • Plus vaste écozone du globe terrestre, elle regroupe l’Europe, l’Asie du nord, l’Afrique du nord et une petite partie du Moyen-Orient.
  • relatifs aux marais
  • Un peuplement forestier se caractérise par un mode de renouvellement des arbres (régénération naturelle ou artificielle), par un régime (futaie, taillis, taillis sous futaie), par la structure (âge des arbres) et par la répartition des différentes essences d’arbres.
  • Étude de l'évolution des phénomènes cycliques de la vie des plantes (germination, floraison...) et des animaux (migration, hibernation...) en fonction des variations climatiques.
  • durée quotidienne de la lumière du jour
  • Processus par lequel les plantes fabriquent des sucres et de l'oxygène à partir de la lumière et du CO2
  • végétaux communément appelés roseaux, genre de plantes herbacées de la famille des Poaceae
  • Un protocole expérimental désigne l'ensemble des étapes et des règles à respecter pour mener une expérience scientifique.
  • Action qui consiste à remettre le cours d’eau dans une configuration plus naturelle, en recréant ses anciens méandres ou en créant un nouveau tracé avec des profils variés
  • Linéaire d'arbres en bordures de cours d'eau
  • Combinaison de la probabilité d’une inondation et des conséquences négatives potentielles pour la santé humaine, l’environnement, le patrimoine culturel et l’activité économique associées à une inondation.
  • Cours d’eau moyennement important, alimenté en eau par d’autres cours d’eau (affluents) et confluant avec un cours d’eau de plus grande importance
  • Petit cours d'eau peu profond, au débit modéré
  • se dit d'un organisme qui réalise tout ou une partie de son cycle de vie dans le bois en décomposition, ou des produits de cette décomposition.
  • se dit d'organismes qui réalisent tout ou une partie de leur cycle de vie dans le bois en décomposition, ou des produits de cette décomposition.
  • processus selon lequel des particules de matières se déposent en couches
  • ensemble de particules en suspension dans l'eau, l'atmosphère ou la glace, qui a finit par se déposer sous l'effet de la pesanteur souvent en couches ou strates successives
  • groupes d'espèces
  • méthodes limitant le travail du sol
  • micro-formes en buttes ou en mottes plus ou moins arrondies, de 40 centimètres à plus d'un mètre de haut
  • trouble, mêlé de particules en suspension rendant la matière opaque
  • Capacité d'une entreprise à générer de la richesse par son cycle de production
  • millième de millimètre

Projet de territoire

La Communauté de communes du Grand Chambord est engagée dans un Plan de paysage, une démarche dont l’objectif est de répondre aux nouveaux enjeux du territoire tout en le préservant, notamment face aux impératifs de la transition écologique et devant la hausse continue de la fréquentation touristique.

 

Actions menées en faveur de la biodiversité

Depuis 2019, la Communauté de communes du Grand Chambord mène une politique active en faveur de la biodiversité, notamment à travers un plan de gestion différenciée des espaces verts. Celui-ci comprend des pratiques telles que la fauche tardive, l’éco-pâturage ou l’implantation de jachères fleuries sur les zones d’activités non commercialisées. 

La gestion des dépendances de voiries est également pensée afin de réduire l’impact sur la biodiversité : suppression de la fauche estivale sur les accotements de voirie, un réglage de la hauteur de coupe à 10 cm pour préserver la faune, des élagages au lamier pour limiter le traumatisme des végétaux, ainsi que le respect strict des périodes de nidification. 

La Communauté de communes s’est également engagée dans une action de lutte contre la prolifération des espèces invasives pour favoriser la biodiversité : les plantes invasives (l’Ambroisie, la Renouée du Japon ou encore la Jussie) et les Frelons asiatiques. Depuis 2019, elle finance, avec le soutien du Conseil départemental 41, le coût de destruction des nids sur les propriétés privées du territoire.

Par ailleurs, l’éclairage public est une action de la Communauté de communes du Grand Chambord, compétence transmise par les communes en 2017. La même année, elle a adopté un Schéma Directeur d’Aménagement Lumière (SDAL) qui encadre précisément le niveau d’éclairement, de températures de couleur et de typologie de matériel pour chaque projet. Cet outil permet une cohérence des différentes installations sur le territoire, notamment lorsque celles-ci sont nouvelles ou rénovées.
Le Grand Chambord travaille activement à la rénovation de son parc d’éclairage public. Plus de 1000 points lumineux ont été remplacés en 2024/2025 (2171 luminaires rénovés depuis 2017), portant à plus de 50 % la part des luminaires équipés en LED, avec une économie moyenne de puissance de 68 %. Un travail a également été réalisé sur la qualité de la lumière émise. En collaboration avec l’Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l'Environnement Nocturnes (ANPCEN), les nouveaux équipements privilégient une lumière moins puissante, plus ambrée (2200 K ou 2400 K), dirigée vers le sol et donc moins perturbante pour la biodiversité.
La Communauté de communes encourage également l’extinction nocturne, désormais appliquée dans la quasi-totalité des communes du territoire, hors zones à risque routier élevé. Elle accompagne aussi les acteurs privés dans une démarche de sobriété lumineuse.
Enfin, une communication spécifique sur l’éclairage public a été mise en place : livret à destination des élus et agents municipaux, articles dans les médias intercommunaux. 
Pour valoriser l’ensemble des mesures prises pour l’éclairage public, Grand Chambord et 15 de ses communes ont candidaté pour 2025 au label « Villes et Villages Étoilés ». Par cette initiative, les collectivités souhaitent allier sobriété énergétique, préservation de la biodiversité et valorisation du ciel nocturne.

Le Grand Chambord dispose d’un Atlas de la Biodiversité Inter-Communale, réalisé entre 2021 et 2023. Cette démarche lui a permis d’inventorier la biodiversité locale (faune et flore) pour mieux la connaître. De même, des actions de sensibilisation et de mobilisation au sujet de la biodiversité locale ont été menées auprès de publics variés. 
Des pistes d’actions ont été identifiées pour la préservation et la valorisation de la biodiversité à l’aide des inventaires réalisés. 

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