• Indicateur | Suivi des Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)
Indicateur | Suivi des Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) Lande sèche du Simouet, végétation de Cladonio-Helianthemetum (41) ©CBNBP / S. Nobilliaux
  • Démarche d’ajustement au climat actuel ou attendu, ainsi qu’à ses conséquences. Pour les systèmes humains, il s’agit d’atténuer les effets préjudiciables et d’exploiter les effets bénéfiques. Pour les systèmes naturels, l’intervention humaine peut faciliter l’adaptation au climat attendu ainsi qu’à ses conséquences (GIEC).
  • suspension de particules dans un gaz
  • pouvoir réfléchissant d’une surface
  • basiques, le contraire d'acides
  • dépôts sédimentaires constitués de matériaux solides tels du sable, de la vase, de l'argile, des galets, du limon et des graviers, transportés par les eaux d’un cours d’eau, le plus souvent intermittent, sur une plaine inondable, un delta, une plage ou autre équivalent
  • coléoptères ravageurs des crucifères (colza, choux).
  • qui disséminent leurs grains de pollen grâce au vent
  • cavités profondes et irrégulières
  • désigne un sol cultivé en agriculture
  • période sévère de basses eaux
  • Intervention humaine visant à réduire les sources ou à renforcer les puits de gaz à effet de serre (GIEC).
  • ensemble des espèces d'oiseaux d'une région donnée
  • remblais de terres et de graviers le long d'un cours d'eau, qui permettent de former les méandres (virages)
  • En biologie, ensemble de la matière organique d'origine végétale, animale, bactérienne ou fongique.
  • processus d'innovation et ingénierie qui s'inspire des formes, matières, propriétés, processus et fonctions du vivant
  • dont la coquille est formée de deux valves, reliées par une charnière, un ligament corné flexible et un ou deux muscles > par exemple chez les coques, moules, palourdes, pétoncles, huîtres, couteaux, coquilles Saint-Jacques...
  • sur des sols calcaires
  • matière naturelle qui compose la carapace des insectes (se prononce [ki.tin])
  • moyenne des conditions météorologiques sur une longue période (30 ans)
  • phénomène physique à l’origine d’échange de chaleur via un fluide
  • montées soudaines du niveau d'eau dans un cours d'eau
  • qualifie un organisme aquicole vivant et se reproduisant en eau douce
  • petites particules circulaires et minces qui ornent la surface supérieure du corps
  • Arrêt du remplissage du grain de blé lors de sa phase de maturation à cause de trop grandes chaleurs (canicule). Cela a pour effet de diminuer le poids du grain et donc le rendement.
  • étude scientifique du comportement animal principalement en milieu naturel
  • niveler, lisser
  • les ailes dures qui recouvrent l’abdomen d'insectes comme les coléoptères
  • obstruction du lit d'un cours d'eau
  • période où le niveau d'eau d'un cours d'eau est le plus bas
  • accumulation excessive de nutriments au sein d'un écosystème aquatique.
  • le cumul des expositions à des facteurs environnementaux (c'est-à-dire non génétiques) que subit un organisme, de sa conception à sa fin de vie, en passant par le développement in utero, complétant l'effet du génome
  • épanchements de liquide organique
  • types différents d'écoulement présents dans un cours d'eau (rapides, plats, radiers, mouilles)
  • action de couper et enlever les plantes aquatiques des rivières ou des étangs
  • Cours d'eau se jetant directement dans la mer, quelle que soit son importance
  • Phénomène artificiel de morcellement de l'espace (définition de l'Insee)
  • période de reproduction des poissons
  • lieux aquatiques où se reproduisent les poissons et les amphibiens et par extension les mollusques et les crustacés - l'endroit où les femelles déposent leurs œufs
  • une zone de gagnage est un endroit utilisé par des animaux sauvages pour se nourrir
  • Qui concerne la répartition selon leur diamètre, des particules des roches, sables, et graviers.
  • Le Groupement d’intérêt scientifique (GIS) sur le sol, regroupant les ministères de l’agriculture et de l’environnement, l’OFB, l’INRAE, l’IGN, le BRGM, l’ADEME et l’IRD a pour mission de compiler et traiter les informations sur les sols relative à leur inventaire, leur conservation, leur analyse et leur qualité.
  • qui possède les organes reproducteurs des deux sexes
  • mouvement, distribution et qualité de l'eau
  • L’hydromorphologie c’est l’étude de la morphologie des cours d'eau (nature du sol, débit, pente, granulométrie du fond, etc.) des cours d’eau, fleuves et rivières, et notamment l’évolution des profils en long et en travers et du tracé planimétrique. <br />L’hydromorphologie c’est aussi l’étude des caractéristiques physiques naturelles des rivières et de leurs annexes hydrauliques (les variations de profondeur, de courant, la structure et la politique d’entretien et d’aménagement de ces rivières et fleuves).
  • à propos d'un flux, qui se dirige vers un système avec lequel il va interagir
  • Espèce qui est liée très fortement à cet organisme ou ce milieu et qui peut difficilement vivre sans celui-ci
  • rayonnements électromagnétiques d’une longueur d’onde supérieure à celle de la lumière, ne leur permettant pas d’être visibles.
  • qui sont faites de bois ou qui ressemblent à du bois
  • qui mangent la lignine, principal composant du bois avec la cellulose et l'hémicellulose
  • feuilles mortes, aiguilles, branches, fruits, mousses que composent les premiers centimètres sur le sol
  • variations artificielles du niveau d'eau d'un plan d'eau, d'une voie navigable ou d'une retenue exploitée
  • le temps qu'il fait à un instant et à un endroit donnés
  • seuils, radiers de pont, passages busés, barrages, etc. qui sont de nature à altérer la migration des espèces aquatiques, ainsi que la diversité et la qualité des habitats naturels disponibles (définition de l'Insee)
  • relatifs aux marais
  • Un peuplement forestier se caractérise par un mode de renouvellement des arbres (régénération naturelle ou artificielle), par un régime (futaie, taillis, taillis sous futaie), par la structure (âge des arbres) et par la répartition des différentes essences d’arbres.
  • Étude de l'évolution des phénomènes cycliques de la vie des plantes (germination, floraison...) et des animaux (migration, hibernation...) en fonction des variations climatiques.
  • durée quotidienne de la lumière du jour
  • Processus par lequel les plantes fabriquent des sucres et de l'oxygène à partir de la lumière et du CO2
  • végétaux communément appelés roseaux, genre de plantes herbacées de la famille des Poaceae
  • Un protocole expérimental désigne l'ensemble des étapes et des règles à respecter pour mener une expérience scientifique.
  • Action qui consiste à remettre le cours d’eau dans une configuration plus naturelle, en recréant ses anciens méandres ou en créant un nouveau tracé avec des profils variés
  • Linéaire d'arbres en bordures de cours d'eau
  • Combinaison de la probabilité d’une inondation et des conséquences négatives potentielles pour la santé humaine, l’environnement, le patrimoine culturel et l’activité économique associées à une inondation.
  • Cours d’eau moyennement important, alimenté en eau par d’autres cours d’eau (affluents) et confluant avec un cours d’eau de plus grande importance
  • Petit cours d'eau peu profond, au débit modéré
  • processus selon lequel des particules de matières se déposent en couches
  • ensemble de particules en suspension dans l'eau, l'atmosphère ou la glace, qui a finit par se déposer sous l'effet de la pesanteur souvent en couches ou strates successives
  • groupes d'espèces
  • méthodes limitant le travail du sol
  • micro-formes en buttes ou en mottes plus ou moins arrondies, de 40 centimètres à plus d'un mètre de haut
  • trouble, mêlé de particules en suspension rendant la matière opaque
  • Capacité d'une entreprise à générer de la richesse par son cycle de production
  • millième de millimètre

L'inventaire ZNIEFF, outil de connaissance naturaliste

Initié en 1982, l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique répond à un besoin de description des secteurs du territoire qui abritent une biodiversité patrimoniale. C'est donc un outil de recensement et de valorisation du patrimoine naturel. En contribuant à recueillir des données naturalistes ciblées sur des secteurs préservés, ce programme vise à identifier et décrire de façon la plus détaillée possible les secteurs de forte richesse naturelle, sur la base de listes d’espèces et d’habitats déterminants.

Les ZNIEFF ne sont pas des espaces légalement protégés, mais sont prises en compte dans les projets d’aménagement du territoire.

Années 2000, modernisation du dispositif ZNIEFF

La première génération de ZNIEFF résulte d’une enquête nationale menée de 1982 à 1995. Une démarche de modernisation nationale des ZNIEFF a été ensuite initiée en 1996 et s’est terminée en 2012, pour aboutir aux ZNIEFF de deuxième génération

Cette démarche a été conduite afin d’améliorer l’état des connaissances, d’homogénéiser les critères d’identification des ZNIEFF et de faciliter la diffusion de leur contenu. Cet outil ZNIEFF est depuis un inventaire permanent et continu, permettant de mettre à jour les zones existantes et de décrire de nouvelles zones. Les zones sont délimitées en tant que ZNIEFF si elles présentent un intérêt patrimonial et fonctionnel (rôle dans le maintien d’équilibres écologiques).

2 types de ZNIEFF

  • Les ZNIEFF de type I, comportent des espèces ou des habitats naturels déterminants et caractéristiques de la région, et sont généralement de superficie limitée.
  • Les ZNIEFF de type II, correspondent à de grands ensembles naturels riches ou peu modifiés, offrant des potentialités biologiques ou écologiques importantes. Les ZNIEFF de type II peuvent inclure des ZNIEFF de type I dans leur superficie.

Pour chaque type de ZNIEFF, le zonage est associé à un formulaire, détaillant notamment les espèces et habitats déterminants de ZNIEFF présents dans le contour.

Définition des listes

Des éléments établis par le secrétariat national des ZNIEFF, proposent des critères généraux pour établir finement les listes d’espèces et d’habitats ZNIEFF. Les listes sont ainsi définies pour chaque région par des groupes d’expert·es de chaque groupe taxonomique ou d’habitats naturels. Elles sont ensuite soumises au Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) qui les valide, avant intégration sur les sites internet de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) et des Directions régionales de l'environnement (DREAL et DRIEAT). 

Concernant les listes de taxons déterminants, il se compose d'espèces :

  • indigènes,
  • menacées, rares ou remarquables (associées à un habitat naturel typique de la région, rare ou menacé),
  • pour la plupart, soumises à réglementations nationale ou régionale (protection),
  • caractéristiques ou représentatives d'un milieu ou d'un habitat particulier.

Dans le cas de zones de type I, l'espèce dite déterminante, doit effectuer tout, ou une partie, de son cycle biologique dans la zone.

Concernant les habitats, la liste compte des habitats:

  • menacés, rares ou originaux
  • faisant l'objet d'une sous réglementation européenne ou nationale
  • considérés comme patrimoniaux et/ou sensibles 
  • importants pour des espèces rares ou exigeantes
Radeau de Renoncule flottante (Cher), espèce déterminante ©N. Roboüam CBNBP-MNHN
Radeau de Renoncule flottante (Cher), espèce déterminante ©N. Roboüam CBNBP-MNHN
Cuivré des marais, espèce déterminante ©M. Willmes
Cuivré des marais, espèce déterminante ©M. Willmes
Listes du Centre-Val de Loire :

Consulter la liste des espèces et habitats déterminants ZNIEFF de la région sur le site de la DREAL.

Stellaire des marais (Loiret), espèce déterminante ©N. Roboüam, CBNBP-MNHN
Stellaire des marais (Loiret), espèce déterminante ©N. Roboüam, CBNBP-MNHN

En France

Le secrétariat national des ZNIEFF propose une méthodologie nationale, cadrant la définition des listes, et la définition des zonages. 

Le dispositif ZNIEFF couvre la France métropolitaine, les cinq départements et régions d'outre-mer et Saint-Pierre-et-Miquelon.

Depuis le Portail du ministère notre-environnement



  • 1 692

    ZNIEFF de type I en France (soit 68 454 km²)

  • 2 370

    ZNIEFF de type II en France (soit 215 713 km²)

SDES, 2022

Comparaison inter-régions

La carte nationale des ZNIEFF présente des écarts évidents de surfaces de couverture entre régions. Cela s’explique par l'occupation des sols des régions mais aussi par l’application territoriale de la méthode nationale (volontairement souple) pour accueillir diverses conceptions de création de ZNIEFF. En Centre-Val de Loire, le choix a été fait d'avoir une définition des ZNIEFF très fine, et ces dernières sont denses en espèces ou habitats patrimoniaux. 

Cette conception a un impact sur le nombre de ZNIEFF. Le graphique ci-dessous illustre la densité des ZNIEFF de type I par région (M représentant la moyenne nationale). Le Centre-Val de Loire présente une forte densité de ZNIEFF de type I : 21 en moyenne sur une surface de 1000 km².

Densité des ZNIEFF de type I par (anciennes) régions françaises
Densité des ZNIEFF de type I par région en France ((nombre de ZNIEFF I / surface en km²) x 1000)

En Centre-Val de Loire

Le programme d’inventaire des ZNIEFF est piloté par la DREAL, avec l’appui du secrétariat scientifique co-assuré par le CBN du Bassin parisien et de la DREAL. Les ZNIEFF sont validées scientifiquement en région par le CSRPN, puis d'un point de vue méthodologique à l'échelle nationale, par le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN). 

Les ZNIEFF couvrent l’ensemble des régions naturelles. Seules les régions de grandes cultures sont plus clairsemées. Les écosystèmes comptant le plus de ZNIEFF sont les grandes vallées et affluents, les massifs forestiers, les régions riches en étangs et les bocages.
 

En 2023, en région :
  • 9 %

    du territoire régional est couvert par une ZNIEFF de type I ou II

  • 968

    ZNIEFF de type I

Soit 43 080 ha

  • 101

    ZNIEFF de type II

Soit 309 381 ha

  • 352 461 ha

    de ZNIEFF de type I et II

©Observatoire, d'après les données PatriNat extraites par le CBN Bassin parisien en mai 2024 - Cliquez pour agrandir

Au sein même de la région, s’observe un écart de nombre et de surface en ZNIEFF. Par ailleurs, l’effort d’actualisation d’un formulaire est variable d’un département à l’autre mais la dynamique est globalement bonne en région.

©ORB, 2024 - d'après les données du CBN du Bassin parisien - Cliquez pour agrandir
©ORB, 2024 - d'après les données du CBN du Bassin parisien - Cliquez pour agrandir

Dynamique de création des ZNIEFF

Le rythme de création de ZNIEFF en région est continuellement croissant, le nombre de création oscillant de 20 à 40 par an, et les cas de suppression étant exceptionnels. Les années les plus creuses, avec une dizaine de création seulement, sont celles où le nombre de CSRPN était très restreint du fait des confinements liés à la Covid.

Le nombre de création en région illustre la forte dynamique du réseau de correspondants ZNIEFF. En parallèle, les ZNIEFF déjà créées peuvent être actualisées (contour comme formulaire).

©ORB, 2024 - d'après les données du CBN du Bassin parisien
©ORB, 2024 - d'après les données du CBN du Bassin parisien
Zoom sur

Comment crée-t-on une ZNIEFF ?

Un acteur du territoire (association, bureau d'étude, Parc naturel régional...) peut proposer à la DREAL et au CBN du Bassin parisien, de classer une zone ZNIEFF de fait de la présences d'habitats naturels ou d'espèces dits "déterminants". Une fois les contours de la zone délimités, la demande est soumise au CSRPN qui appose son avis scientifique. Le projet de ZNIEFF est ensuite envoyé au MNHN pour validation de la méthode, et enregistrement de la zone sur l'INPN.

Pour quels impacts ?

Les ZNIEFF n'ont pas de valeur juridique directe. Cependant, leur mention est nécessaire dans les études d'impacts avant tout projet d'aménagement du territoire. Cela conduit, généralement, à ne pas construire sur ces zones. De fait, les ZNIEFF de type I, sont souvent classées "non-constructibles" dans les documents d'urbanisme.

Espèces et habitats déterminants les plus courants

Parmi la faune, l’entomofaune (Lépidoptères, Orthoptères et Odonates), et  les oiseaux sont les groupes taxonomiques les plus couramment cités dans les formulaires  de ZNIEFF de type I, avec respectivement 996 et 678 mentions dans les formulaires, comptabilisées fin 2023.

En flore, les plantes vasculaires (plantes à fleurs) ressortent nettement avec 5949 données taxonomiques citées dans les formulaires de ZNIEFF de type I (ce qui s'explique aussi par une liste d’espèces déterminantes de plantes vasculaires plus fournie que les fougères, et une plus grande facilité de reconnaissance que les mousses ou les champignons).
 

  • 1/3

    des ZNIEFF de type I sont des landes sèches et pelouses calcicoles

Pelouse sèche du Veillon ©Indre Nature
Pelouse sèche du Veillon ©Indre Nature
Germandrée petit-chêne ©T. Emeriau, CBNBP-MNHN
Germandrée petit-chêne ©T. Emeriau, CBNBP-MNHN

Espèce déterminante vasculaire la plus citée dans les démarches de création de ZNIEFF

Martin pêcheur ©M. Queyrie
Martin pêcheur ©M. Queyrie

Espèce déterminante d'oiseaux la plus citée dans les démarches de création de ZNIEFF

Gazé ©F. Cayrouse
Gazé ©F. Cayrouse

Espèce déterminante de papillons la plus citée dans les démarches de création de ZNIEFF

Enjeux et perspectives

Les ZNIEFF reflètent une évolution de l’état de la connaissance de la biodiversité. De ce fait :

  • l’augmentation continue en nombre et en surface des ZNIEFF se traduit essentiellement par une augmentation de la connaissance (notamment dans les territoires sous-prospectés) ;
  • une diminution du nombre ou de la surface de ZNIEFF peut signifier un ajustement (fusion de zones, précision de contours trop larges, peu justifiés), ou une disparition de l’intérêt écologique du milieu (milieu détruit ou fortement dégradé).

L’enjeu de ce programme est ainsi de continuer d’inventorier et de rechercher les secteurs les plus préservés en région, de valoriser ces secteurs où l’intérêt patrimonial est préservé, notamment dans cette région de plaines soumises à de fortes pressions anthropiques. 

Zoom sur

Limites d'utilisation des données présentées

Bien que l’inventaire ZNIEFF soit permanent et continu dans son actualisation, il reste perfectible. C’est un état des lieux de la connaissance qui est amélioré chaque année. La surface en ZNIEFF ne correspond donc pas à la surface réelle des milieux les plus patrimoniaux de la région, mais elle s’en approche.

  • Sources des données :  les ZNIEFF de type I et II sont validées en région par le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) chaque année. Les données utilisées ici sont extraites de la base de données sur les ZNIEFF (extraction du 31/10/2023) et ont été fournies par le Conservatoire Botanique National du Bassin parisien (CBNBP).
  • Échelle de constitution : échelle communale (cartographie) et régionale (statistique).
  • Mise à jour de l’indicateur : tous les deux ans 
  • Rédactrices : Ophélie Beslin - CBN du Bassin parisien et Laetitia Roger-Perrier, ARB Centre-Val de Loire
  • Comité de relecture : groupe de travail de l'Observatoire*

*Le groupe de travail de l'Observatoire est constitué des 3 co-pilotes (Région, OFB et DREAL) et des 3 pôles Faune, Flore & habitats et Gestion des milieux naturels.

Lande sèche du Simouet, végétation de Cladonio-Helianthemetum (41) ©CBNBP / S. Nobilliaux

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