La destruction des habitats naturels est une cause majeure de perte de la biodiversité au niveau mondial. Les espaces qui subissent ce phénomène ne sont plus disponibles comme habitats naturels, ou pour des usages tels que l’agriculture. L'Observatoire rend compte de l'urbanisation de ces surfaces via son indicateur de consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers (ENAF).
Les sols peuvent être définis selon l'usage ou l'occupation qui en est fait. Deux grands types se distinguent alors : les espaces naturels, agricoles, forestiers (dits ENAF) et les espaces artificialisés.
La consommation d'espaces correspond au changement d'usage ou d'occupation des ENAF passant à des espaces urbanisés ou construits. C'est un indicateur de la pression des activités humaines sur les écosystèmes, qui permet de quantifier les phénomènes d'étalement urbain et de mitage.
Cependant la notion de "changement d'usage" est complexe, et les données pour suivre ces changements sont encore imparfaites. Le changement d'usage des sols NAF en espaces urbanisés concerne les constructions suivantes :
La loi Climat et résilience de 2021 apporte deux définitions officielles sur la consommation et l'artificialisation :
La consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers (espaces NAF) est entendue comme « la création ou l'extension effective d'espaces urbanisés sur le territoire concerné »
L'artificialisation des sols est l’altération durable de tout ou partie des fonctions écologiques d’un sol, en particulier de ses fonctions biologiques, hydriques et climatiques, ainsi que de son potentiel agronomique par son occupation ou son usage
Le décret n° 2023-1096 du 27 novembre 2023 est relatif à l'évaluation et au suivi de l'artificialisation des sols. Il définit, selon les types d’espaces, leur classement en artificialisé ou non artificialisé. Un tableau récapitulatif est présent en annexe du décret.
Le suivi de la consommation des ENAF est réalisé par l'exploitation des fichiers fonciers à l'échelle communale, fournis par l'Observatoire national de l'artificialisation. Ils indiquent le changement d'état, ou la consommation, d'un espace NAF à un espace urbanisé, soit par création, soit par extension de l'existant (cf. définition de la loi Climat et Résilience).
En 2025, entre les données fournies par l'État et celles de la cartographie nationale d'occupation des sols à grande échelle (OCSGE), il est possible de suivre l'artificialisation nette. Cela consiste à faire la différence entre les zones artificialisées telles que définies par la loi Climat et résilience, et les zones renaturées au sein d'un périmètre donné.
2 objectifs se complètent dans le temps :
Ainsi en France, de 2011 à 2021, 24 000 ha d'ENAF ont été consommés en moyenne par année (243 136 ha au total), et pour 60 % des cas, dans des zones où le marché immobilier est détendu (c'est-à-dire des zones où il est peu difficile de trouver un logement). La consommation projetée pour la décennie 2021-2031 est donc de 12 000 ha par an en moyenne pour respecter l'objectif national intermédiaire de -50 % de consommation d'ENAF d'ici à 2031, avant d'atteindre le zéro artificialisation nette des sols en 2050.
La consommation des espaces se fait au détriment des milieux naturels, agricoles ou forestiers initialement présents. Lorsque ces milieux ne sont pas totalement détruits par l'artificialisation, ils sont fragmentés par des obstacles (routes, voies ferrés) qui entravent ou empêchent la libre circulation des espèces. De plus ces zones urbanisées sont généralement associées à des éclairages et donc à une pollution lumineuse augmentée, de même qu'une qualité de l'air et de l'eau réduite.
Les milieux naturels, agricoles ou forestiers fonctionnels, c'est-à-dire en bonne santé écologique, nous rendent des services inestimables. Les détruire entraîne des conséquences en cascade qui viennent impacter notre qualité de vie.
Les milieux naturels, agricoles et forestiers aident à lutter contre le changement climatique. 60% du CO2 anthropique est actuellement absorbé par les puits de carbone que sont les océans, les végétaux et les sols. Ainsi le changement d'usage des terres supprime ou réduit cette capacité à stocker, absorber ou dissoudre le CO2, contribuant ainsi à l'élévation des températures et au développement des îlots de chaleur urbain.
De plus, l'expansion des territoires urbanisés conduit généralement à l'espacement entre les zones d'habitats, de travail et de commerces. Cela engendre une plus grande circulation et donc des sources d'émissions de pollution plus importantes.
Des sols fonctionnels ont un pouvoir de rétention et d'infiltration de l'eau. Leur imperméabilisation amplifie le ruissellement de l'eau et sa non-infiltration, entrainant un risque d'inondation supplémentaire.
Le ruissellement entraîne un transfert de sédiments chargés de matières en suspension et de contaminants (hydrocarbures, métaux lourds, engrais chimiques et produits phytosanitaires) et accumule leur concentration en aval, vers les rivières. Les milieux aquatiques ne sont plus aptes à épurer l'eau trop chargée, contribuant à leur comblement et à la dégradation de leur qualité. Cela amène notamment à traiter plus durement l'eau pour la rendre potable (pour un coût supplémentaire au robinet).
La non-infiltration des eaux en surface diminue la recharge des nappes phréatiques, réduisant la quantité d'eau potable "propre" disponible (les eaux souterraines, filtrées par les sols et racines des végétaux, nécessitent un traitement moins lourd en station). Elle amène aussi à une saturation et un débordement du réseau urbain d'eaux pluviales lors de fortes précipitations, pouvant causer des inondations plus en aval.
L'amplification du phénomène de ruissellement conduit en aval à l'érosion des terrains agricoles créant des coulées d'eau boueuse qui peuvent être dramatiques. La perte des sols agricoles entraîne une perte de matière organique et donc de la fertilité des sols, induisant une perte des rendements agricoles et un déstockage de carbone rapide.
Le Portail de l'artificialisation publie et vulgarise les chiffres à l'échelle nationale. La dernière mise à jour date de mai 2025 et les données couvrent maintenant la période du 1er janvier 2009 au 1er janvier 2024.
Voici un extrait du contenu de l'analyse, à retrouver plus en détails ci-après :
En terme de consommation de son territoire par rapport aux autres régions de France métropolitaine, le Centre-Val de Loire est, rapporté à sa surface, en 10ème position (sur 12 : la Corse est retirée de ce comparatif du fait de sa petite superficie). Le taux de consommation apparaît ainsi assez modéré (le résultat est le même en valeurs absolues).
Comparée à l'arrivée de nouveaux ménages entre 2015 et 2021*, la région apparait cependant en 1ère position de consommation d'ENAF.
*La notion de ménage est ici entendue au sens statistique du terme, et désigne « l’ensemble des occupants d’un même logement sans que ces personnes soient nécessairement unies par des liens de parenté. Un ménage peut être composé d’une seule personne » (source INSEE). La variation du nombre de ménages de fait ici entre les recensements INSEE de 2015 et 2021.
positionnement du Centre-Val de Loire
comparativement aux autres régions de l'hexagone, en terme de consommation (totale) d'ENAF de 2009 à fin 2023, rapportée aux surfaces régionales
positionnement du Centre-Val de Loire
comparativement aux autres régions de l'hexagone, en terme de consommation d'ENAF vers l'habitat de 2009 à fin 2023, en valeurs absolues
positionnement du Centre-Val de Loire
comparativement aux autres régions de l'hexagone, en terme de consommation d'ENAF vers l'habitat, de 2015 à fin 2021, rapportée aux nouveaux ménages accueillis
Ces trois représentations (chiffre brut et deux traitements) illustrent la complexité des analyses sur la consommation d'ENAF par territoire.
Un premier raisonnement consiste à rapporter les surfaces consommées aux surfaces des territoires, pour obtenir un taux de consommation. Toutefois la consommation d'espaces est une donnée dynamique, un flux. Un autre raisonnement consiste alors à la mettre en regard d'une autre donnée dynamique, telle que le mouvement des ménages. Cependant, via ce traitement, les données révèlent des tendances opposées au premier traitement.
C'est ainsi que dans le premier cas, rapporté à sa surface relativement grande par rapport à d'autres régions de l'hexagone, le Centre-Val de Loire apparait comme une région modérément consommatrice. Tandis que dans le second cas, rapporté au mouvement des ménages, le Centre-Val de Loire, caractérisé par une faible densité de population et une dynamique socio-démographique qui ralentit, apparaît fortement consommateur d'ENAF.
Cette mise en perspective montre la précaution à avoir avec ce jeu de données et les nuances à apporter à toute conclusion.
Le graphique ci-dessous exprime la consommation d’ENAF en ha par région, et la destination des aménagements réalisés, sur la période allant du 1er janvier 2009 au 31 décembre 2023.
d'ENAF urbanisés en moyenne par an, de 2009 à 2023 en région
d'ENAF urbanisés en 2023 en région
surfaces de terrains de foot par jour de 2009 à 2023
surfaces de terrains de foot par jour en 2023
Surface officielle d'un terrain de foot de 7 140 m²
Visibles sur la carte ci-contre, quelques secteurs se démarquent en terme d’ENAF consommés : la métropole d’Orléans et ses abords, l'agglomération de Blois, la vallée du Cher de Bourges à Tours, Châteauroux et la frange sud de l’Eure-et-Loir. La majeure partie de la consommation se concentre ainsi en bordure des grandes villes.
En Centre-Val de Loire, les 2/3 de l’urbanisation ont pour origine la construction d’habitat. Cette répartition est inchangée par rapport au précédent lot de données (2009-2022). Depuis ce lot, deux nouveaux usages dans les types d’aménagements ont été ajoutés, les routes et les voies ferrées. Ces nouveaux postes sont à traiter avec précaution et peuvent être sous-évalués : par exemple si un ENAF est majoritairement urbanisé, c'est l'ensemble de la parcelle qui est considéré comme tel (il n'y a pas de distinction faite sur des parties de route à l'intérieur ou en bordure de la zone urbanisée par exemple).
La conversion des surfaces d'ENAF en surfaces urbanisées fluctue selon les années. Sur le graphique de droite (histogramme), une baisse de la consommation d'ENAF est visible pour les années 2019 à 2021, correspondant entre autres, à l'arrêt des travaux lors de la crise sanitaire. La reprise de la consommation de 2022, semble se renverser en 2023.
De même, la tendance varie selon les départements. Rapporter la consommation d'ENAF en surfaces urbanisées, à la surface départementale, permet d’identifier les taux d’évolution annuelle de l’urbanisation (graphique en courbes ci-contre). Chaque département ayant des profils différents, il est normal de trouver des dynamiques différentes. Pour analyser finement les résultats, il faudrait ainsi prendre en compte les politiques départementales, les grands aménagements... Par exemple, pour l'Indre-et-Loire, le pic observé en 2017, est lié à la réalisation du tronçon de la LGV Tours-Bordeaux (voie ferroviaire).
Il est aussi intéressant de comparer les départements, pour l'année 2023 (graphique ci-contre). Le Loiret ressort nettement, avec 3/4 de ses aménagements destinés à l’habitat, suivi par l'Indre-et-Loire qui a une même dynamique. L'Eure-et-Loir est également le seul département dont la consommation d'ENAF augmente en 2023, poursuivant sa lancée de 2022.
62 % des aménagements en région ont pour but la construction d'habitat (65 % à l'échelle nationale). C'est ainsi 706 hectares qui ont connu un changement d'état de naturel, agricole ou forestier, vers un état urbanisé pour des logements en 2023 à l'échelle régionale.
Le département du Loiret connaît le plus fort changement d'usage des espaces NAF à destination des logements avec plus de 240 hectares convertis en habitat chaque année en moyenne (279 ha en 2023). Le département d'Indre-et-Loire suit avec 162 hectares consommés pour l'habitat chaque année en moyenne (120 ha en 2023), puis le Loir-et-Cher avec 143 hectares en moyenne depuis 2009 (90 ha en 2023).
L’augmentation du nombre de ménages dans une commune peut induire de nouvelles constructions (au même titre qu'elle peut induire de la réhabilitation de logements vacants ou de la construction dans un espace déjà urbain). Le résultat est visible sur la carte ci-dessous.
Le terme de ménage est toujours utilisé ici au sens statistique de l'INSEE et ne reflète pas la dynamique de population d'un territoire. Si deux personnes cessent de partager le même logement mais se relogent séparément dans la même commune, le nombre d'habitants de ladite commune est constant, mais son nombre de ménage augmente.
Ainsi, à population constante ou en baisse, le nombre de ménages peut augmenter ou être constant sous l’effet d’évolutions structurelles (ex. vieillissement et veuvage), ou d’évolutions des modes de vie (ex. divorces, recompositions familiales). Lorsque le nombre de ménage augmente, cela peut donc signifier que la taille des ménages diminue suite aux changements pré-cités (plus de célibataires, de famille monoparentales...), ce qui génère des besoins en logements, potentiellement plus petits, mais pas tant que cela vu les attentes sociétales (ex. avoir une pièce pour le télétravail, avoir un extérieur...).
En légende de carte ci-dessous, le gradient de couleur illustre la consommation économe d'ENAF à destination de l'habitat.
Le mouvement des ménages est renseigné par les recensements INSEE de 2015 à 2021, et est mis en regard de la consommation d'ENAF vers l'habitat sur la même période. Le précédent recensement INSEE valait sur la période 2014-2020. Les données peuvent être revues entre chaque mise à jour, aussi même si les périodes se chevauchent, il existe une "correction" des données précédemment fournies. La différence est notable entre le lot disponible actuellement et le précédent. Aussi, dans un souci de transparence, les 2 sont affichés pour bien noter la correction apportée.
ont eu une consommation d'ENAF à destination de l'habitat malgré une baisse des ménages
des communes ont une consommation économe (couleurs vert et bleu turquoise)
n'ont pas consommé d'ENAF à destination de l'habitat malgré une variation des ménages
Une autre variable possible en dehors du flux de ménages est l’emploi. La création de nouvelles activités professionnelles peut engendrer le besoin d’infrastructures routières, de zones d’activités et/ou de zones commerciales, entraînant une consommation des espaces concernés. Cependant, l’analyse des flux d’emplois sur cette même période montre une faible variation : seules 1/3 des communes du Centre-Val de Loire enregistrent un gain de 1 à plus de 100 emplois entre 2015 et 2021 (71 % des communes ont perdu entre 0 et 100 emplois durant ces 5 années).
Le suivi de la population peut également renseigner sur les causes de la consommation d'ENAF. Toutefois, la dynamique de population semble relativement faible voire en diminution, car 65 % des communes en région relèvent une baisse de 0 à 100 habitants de 2015 à 2021.
2023 marque une baisse de la consommation d'ENAF de -23 % par rapport à l'année précédente (qui témoignait à l'inverse d'une forte consommation). Au regard de l'arrivée de nouveaux ménages, le Centre-Val de Loire est la région la plus consommatrice d'ENAF mais si 31 % des communes consomment des ENAF vers l'habitat sans variation de ménages, la même proportion a une consommation économe.
Toutefois, l’analyse des données à l’échelle nationale permet d’indiquer que la diminution de la consommation, prévue par la loi « Climat et résilience » n’est pas encore amorcée.
La loi « Climat et résilience » du 22 août 2021 a fixé un double objectif national : diviser par deux le rythme de consommation d'ENAF entre 2021 et 2031 par rapport à la décennie précédente (de 250 000 à 125 000 hectares en France) et atteindre d’ici à 2050 zéro artificialisation nette, c’est-à-dire au moins autant de surfaces renaturées que de surfaces artificialisées.
Les schémas régionaux doivent intégrer et territorialiser l'objectif national d’ici novembre 2024.
En Centre-Val de Loire, le Schéma Régional d'Aménagement, de Développement Durable et d’Égalité des Territoires (SRADDET) en vigueur vise une division par deux de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers en 2025.
Selon les données des fichiers fonciers retraités par le Cerema, environ 1 450 hectares naturels, agricoles et forestiers ont été urbanisés en moyenne chaque année entre 2009 et 2015 (période de référence).
Pour tenir la trajectoire de réduction de 50 % du SRADDET en vigueur, il s’agit donc entre 2016 et 2025, d’avoisiner une consommation d’espaces annuelle moyenne de 725 hectares. Or,
consommés en moyenne par an de 2009 à 2015*
*période de référence
pouvant être consommés en moyenne, par an, de 2015 à 2025*
consommés réellement en moyenne, par an, de 2016 à 2023*
La réforme de la loi Zéro artificialisation nette du 20 juillet 2023, publiée le 21 juillet 2023, vient accompagner davantage les élu·e·s à atteindre ces différents objectifs.
Ainsi, au vu des objectifs cités, le traitement des données des années futures sera déterminant pour illustrer la baisse initiée par les collectivités.
L’Observatoire national de l’artificialisation des sols s’appuie sur les fichiers fonciers, c’est-à-dire les fichiers déclaratifs d’occupation des parcelles issus de la taxe foncière. Il s’agit d’une donnée annuelle homogène et fine (maille parcellaire, voire intra-parcellaire). Toutefois, les espaces non cadastrés ne sont pas pris en compte (mais leur surface reste minime). De plus l’usage est binaire : soit les sols sont artificialisés, soit non. Enfin, les bâtiments appartenant à un organisme public ne sont pas pris en compte puisque exonérés de taxe foncière, de même que bâtiments exonérés de taxe foncière appartenant à propriétaires privés, ce qui constitue un biais.
Les données de l’occupation du sol à grande échelle (OCSGE) vont permettre d’affiner l’usage des terres (notamment d’intégrer les réseaux de transports qui contribuent à l’artificialisation des sols). Le développement d'un indicateur utilisant cette ressource est prévu.
*Le groupe de travail de l'Observatoire est constitué des 3 co-pilotes (Région, OFB et DREAL) et des 3 pôles Faune, Flore & habitats et Gestion des milieux naturels.
La consommation d'ENAF sur un territoire peut être bien pensée en y associant des zones infiltrantes et des végétaux, comme ici au parking du CoMet Orléans ©L. Roger-Perrier
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Agence régionale de la biodiversité Centre-Val de Loire (ARB CVL)
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